Rozenn Nardin, professionnelle rompue à la création et au déploiement de l’écoute des médias et réseaux sociaux, vous livre quelques conseils pour vous aider à choisir et lancer votre projet de social media intelligence avec un partenaire de confiance.
Pourquoi mettre en place un dispositif de social media intelligence
La « social media intelligence » désigne un dispositif d’écoute du marché, des clients, des concurrents et autres parties prenantes dont les données sont collectées des médias et des réseaux sociaux. Elle prend une part de plus en plus importante dans les systèmes d’intelligence marketing des entreprises.
Si ce type de dispositif social media intelligence est en pleine expansion, il n’en demeure pas moins qu’il existe toute une zone d’incertitudes quand il s’agit de choisir le partenaire à qui l’on va confier cette prestation. Ce sentiment d’inconfort naît clairement d’un flou sur les méthodologies mobilisées et sur l’absence d’un socle de bonnes pratiques qui serait partagé par toutes les professions qui touchent de près ou de loin la social media intelligence.
En effet, on pourrait penser qu’après plus de 10 ans d’expérimentation, la social media intelligence relèverait d’une méthodologie, d’une approche (y compris pluridisciplinaire), de pratiques partagées, en alliant objectifs d’études et objectifs clients dont on a bien esquissé les grands contours comme cela était fait pour les études marketing et opinion. Il n’en est rien. Ce mot-valise « social media intelligence », qu’on pourrait même qualifier de « buzz word » renvoie à de multiples méthodologies, courants de pensée (voire même de dogmes) et métiers. Car finalement tout le monde fait aujourd’hui de l’écoute des médias et des réseaux sociaux.
Difficile alors d’y voir clair ou de décider, quand d’un prestataire à l’autre, la quasi-intégralité de la proposition change du tout au tout. Aujourd’hui, évaluer la qualité des propositions social media intelligence est un véritable casse-tête pour les annonceurs, tant les éléments d’arbitrage à mobiliser sont difficiles à identifier, dès lors qu’on sort du critère du prix et de la technologie utilisée.
Alors comment survivre à cette jungle des offres et des offreurs pour faire de la social media intelligence un dispositif d’écoute tangible qui a la même robustesse que d’autres plus anciens des études marketing et opinion (sans non plus passer sous silence qu’ils ont aussi leurs limites)? Une fois qu’on a fait le tour des périmètres technologiques et budgétaires, quelles sont les grandes questions à se poser pour bien choisir ?
Une difficulté de taille : comment choisir son prestataire en social media intelligence?
Difficile dans ce contexte alors d’y voir clair ou de décider, quand d’un prestataire à l’autre, la quasi-intégralité de la proposition de social media intelligence change du tout au tout. Aujourd’hui, évaluer la qualité des propositions social media intelligence est un véritable casse-tête pour les annonceurs, tant les éléments d’arbitrage à mobiliser sont difficiles à identifier, dès lors qu’on sort du critère du prix et de la technologie utilisée.
Alors comment survivre à cette jungle des offres et des offreurs pour faire de la social media intelligence un dispositif d’écoute tangible qui a la même robustesse que d’autres plus anciens des études marketing et opinion (sans non plus passer sous silence qu’ils ont aussi leurs limites)? Une fois qu’on a fait le tour des périmètres technologiques et budgétaires, quelles sont les grandes questions à se poser pour bien choisir ?
Des éléments de réponse avec :
– les 4 conseils de base pour mener sa sélection social media intelligence en toute autonomie.
– 2 conseils plus avancés pour challenger votre prestataire social media intelligence sur des enjeux plus pointus ; suivis par le mémo des 7 étapes à retenir en tant que commanditaire.
Pour aller plus loin et adopter les techniques principales de social media intelligence.
